CAS CLINIQUE D´ANORÉXIE - A.M.C., femme de 27ans.
MOTIF DE LA CONSULTATION: La patiente se rend à la consultation, non pas pour être consciente de sa situation anoréxique, étant déjà habituée à celà, mais parce qu´elle avait passé plusieurs mois à souffrir de douleurs de tête continus, sensations d´oppression thoraciques, épuisement, et un état continu de stress. Son extrême minceur attire l´attention; elle pèse 44 kg. Il s´agit d´une personne très introvértie, résultant un peu complexe pouvoir obtenir des informations de sa part, symptôme qui semblerait être très habituel chez ces patients. Quand on la questionne à propos de son extrême minceur, elle exprime le sentiment de se sentir peu attractive, laide, etc. Selon ce qu´elle explique, une série de commentaires dûs à son aspect physique procédents de son entourage social l´amenèrent à un état d´apathie et rejet à tout ce qui l´entoure, et elle commença à ne plus manger. Elle manifeste avoir toujours la sensation de gonflement abdominal et rejette tout type de nourriture. Elle mange parce que ses parents l´obligent, mais le minimum, et comme après elle le manifeste, seulement une fois par jour, ou deux en de râres occasions.
Parallèlement aux symptômes relatés, elle présente des règles peu abondantes, en plus du fait de se plaindre de fréquentes cervicologies et lumbalgies, on remarque des cernes prononcées et très foncées, et elle indique que surtout les matins, et aproximativement jusqu´à midi, elle a normalement des épisodes d´éternuement, l´apportant à une allergie.
TRAITEMENT: On commence la première session de BCQH en quittant les parasites d´une cicatrice dans la région du métatarse du quatrième
orteil. On y applique les trois protocoles. La session finalisant, elle indique qu´elle se trouve beaucoup mieux. Les douleurs de tête et de dos qu´elle avait ont cessé et elle se trouve très reposée.
Après une semaine elle régresse pour une deuxième session, indiquant qu´elle n´a pas eu de douleurs de tête, et qu´elle a eu de l´appétit; elle a éffectué trois repas par jour, et le foncé des cernes a disparu.
Du point de vue anémique, elle se trouve beaucoup mieux. A son retour à la consultation pour s´appliquer la quatrième session, elle semble se sentir très bien, elle continue à manger avec beaucoup d´appétit. Elle pèse donc 48 kg. Elle n´a plus eu mal au dos et les collègues de travail ont noté un changement dans son aspect et son comportement, ainsi donc elle commence à s´extrovertir , à s´estimer d´avantage dans tout les sens, disant que pour la première fois, même sans se maquiller, elle s´est trouvée jolie.
À
propre demande, la patiente, suit actuellement un traitement
qui a lieu tous les 15 jours, et jusqu´à présent
elle continue à bien manger et améliore son état
anémique.
Thérapeute Bio-cibérniste: Francisco José
Rodriguez Ruiz
e-mail: ffrodri77@terra.es
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CAS
CLINIQUE : ENFANT HYPER CINÉTIQUE
PATIENT
: Nom : I. P. G.- Enfant de 5 ans
Diagnostiqué comme hyper actif, avec d'importants problèmes
de langage et d'attention. À un moment déterminé,
il a été conseillé aux parents d'emmener
leur enfant en consultation chez un psychiatre pour qu'il suive
un traitement avec des médicaments, mais cela ne s'est
pas produit.
SYMPTOMATOLOGIE
: Difficultés dans le langage et la diction, superposition
de mots et impossibilité de prononcer certains vocables
déterminés. Dans le discours, inadéquation
de celui-ci dans le temps et désordre d'idées
en général. Graves problèmes d'attention.
TRAITEMENT
: Le traitement a commencé par une séance
de BCQH par semaine. À partir de la 8e séance,
une amélioration dans l'attention a été
observée et le patient était plus calme. Les séances
hebdomadaires ont duré environ six mois, coïncidant
avec la fin des cours scolaires. À partir de ce moment,
les séances ont été appliquées tous
les quinze jours jusqu'à ce que, au vu des évidents
bons résultats obtenus dans le comportement et l'attitude
du jeune patient, elles ont été appliquées
toutes les trois semaines. Actuellement (Novembre 2001, coïncidant
avec le troisième cours scolaire - 8 ans), et en fonction
des circonstances, des séances lui sont appliquées
de façon aléatoire toutes les trois semaines ou
plus.
Pendant
la première phase du traitement (hebdomadaire), l'évolution
académique du jeune patient a atteint des cotes de normalité
insoupçonnées, impensables quelques mois auparavant.
Il a appris ce qui semblait impossible avant : lire, écrire,
additionner et soustraire. À la fin du cours (qui coïncidait
avec les six mois de traitement), il prononçait tous
les idiotismes sans difficulté, y compris la "rr"
qu'il avait beaucoup de difficulté à vocaliser
jusqu'alors.
C'est
un enfant catalogué de « remuant » mais absolument
normal. Il a toujours été aidé et on veille
à ce qu'il pratique un sport. Chez lui, ses activités
préférées sont la lecture et le dessin.
Il
n'a jamais suivi de traitement pharmacologique et n'a pas eu,
non plus, besoin d'aller en consultation chez le psychiatre.
Bio-cibernétiste:
Laura G. L. Tél. 630940893 -Espagne-
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CAS CLINIQUE Nº 1. - M.F.P.,
homme âgé de 80 ans .
Docteur C. Aldea Bueno
RAISON DE SA VISITE: Douleurs dans la partie inférieure de l'abdomen et à la hanche droite qui l'empêche ni de marcher ni de se reposer pendant la nuit.
HISTOIRE DE LA SYMPTÔMOPATHOLOGIE: Le patient présente des douleurs au vide et à la fosse iliaque droite qui va jusqu'à la hanche, zone antérieure de la cuisse, et jusqu'au genou.
Douleurs très intenses qui empirent quand il marche ou est couché, ce qui l'oblige à dormir assis sur un fauteuil. Le patient associe cette douleur avec l'apparition d'une hernie inguinale droite récidivante (intervention chirurgicale: 5 ans auparavant). Le patient décide de venir au cabinet médical après avoir souffert, les derniers jours, de douleurs concomitantes et de pertes momentanées de force à l'extrémité du même côté, qui lui perturbent la stabilité et le font tomber.
Pendant l'exploration, la palpitation des apophises épineuses de toutes les vertèbres lombaires lui font mal, ses muscles abdominaux, psoas et quadriceps (hanche droite, à la rotation externe, aussi bien à l'adduction qu'à l'abduction) se contractent. La palpation de la hernie inguinale indique qu'elle n'est pas la cause de la douleur décrite. Pendant la mobilisation, il ne ressent qu'une gêne locale sans étrangulation ni douleurs, ni aux bords ni au sac herniaire. Soupçonnant un syndrome de compression radiculaire lombaire haute, une RMN (Résonance Magnétique Nucléaire) est demandée, et la première session de BCQH est commencée.
TRAITEMENT: Au début de la première session de BCQH nous valorisons la cicatrice de la hernie inguinale (Premier Protocole), nous appliquons le Deuxième Protocole à la zone lombaire et à ce que nous appelons le 'Point Universel', pour finalement stimuler la régulation des Chakras avec le Troisième Protocole. Après la première session, toute douleur disparaît. Le patient ne sent qu'une légère gêne quand il bouge la hanche, avec une situation de raccourcissement des tendons.
Une semaine après, quand il revient pour recevoir sa deuxième session, le patient explique qu'il a été asymptomatique et a pu dormir dans son lit dès la première session de BCQH, bien qu'il perde de la force dans sa jambe et donc l'équilibre, ce qui l'oblige à marcher avec une canne.
La Résonance Magnétique Nucléaire montre une arthropathie dégénérative très importante, du L3 au S1, avec une déstructuration au niveau des uncovertébraux, un déplacement vertébral et une protusion au canal modulaire.
Le patient suit son traitement hebdomadaire jusqu'à la disparition totale des symptômes. Actuellement, il marche normalement, sans aucune douleur, et vient une fois par mois pour recevoir une session de BCQH.
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CAS CLINIQUE N°2 - L.A.C. , homme âgé de 71 ans.
Docteur C. Aldea Bueno
RAISON DE SA VISITE: Douleur lombaire aux deux hanches qui l'empêche de bien marcher.
HISTOIRE DE LA SYMPTÔMOPATHOLOGIE: Le patient souffre de Diabète Mellites depuis 20 ans, et ne dépend pas de l'insuline. Il a une rétinopathie diabétique, une artériopathie diabétique niveau II, un début de néphropathie et une ostéoporose marquée. Il vient au cabinet médical pour des douleurs lombaires et une impotence fonctionnelle, avec une douleur qui irradie dans les deux jambes. Il a des problèmes pour marcher et s'aide de deux béquilles.
En 1992, il tombe sur le dos. Une radiologie simple est prise, le diagnostic: une fracture avec aplatissement de la 4ème vertèbre lombaire est diagnostiquée. Depuis, des douleurs répétitives surgissent de la zone traumatisée.
En juin 1985, il est renversé par une voiture. Il se fait opérer d'une fracture au fémur, et une prothèse Rie Mans lui est installée. La douleur s'aggrave et devient intense et constante, surtout en marchant.
TRAITEMENT: Nous appliquons les trois protocoles de la BCQH et stimulons les Chakras. Après la première session, quand il se lève et n'a pas de douleur, le patient exprime sa surprise. Cinq jours après la session, les douleurs réapparaissent, mais beaucoup moins intenses, et lui provoquent un léger déséquilibre, il ne s'aide que d'une béquille pour marcher. Il reçoit des sessions de BCQH hebdomadaires jusqu'à l'élimination de la douleur. Actuellement, il vient aux sessions une fois par mois et marche sans béquilles.
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CAS CLINIQUE N°3. - Femme âgée de 46 ans.
Docteur C. Aldea Bueno
RAISON DE SA VISITE: Douleurs et crampes aux deux jambes.
HISTOIRE DE LA SYMPTÔMOPATHOLOGIE: Elle a une Sclérose Multiple depuis 4 ans, et doit utiliser un fauteuil roulant depuis un an. Elle marche de façon précaire, ne lui permettant qu'aller aux toilettes et s'allonger dans son lit. Depuis, tout en prenant des corticoïdes et du Metrotexate, la patiente a des crises périodiques surtout aux changements de saison (printemps et automne). Après chaque crise, sa statique et sa marche s'aggravent jusqu'à avoir besoin d'un fauteuil roulant. A l'exploration, nous objectivons l'atrophie musculaire, spécialement de la jambe gauche, et la douleur de toute la dorso-lombaire musculaire et des deux jambes. La mobilité autonome est minime. La patiente vient, car dernièrement l'intensité et la fréquence des crampes et des douleurs aux deux jambes se sont aggravées.
TRAITEMENT: A la fin de la première session de BCQH, la patiente montre une grande amélioration de force aux deux jambes. Elle n'a plus de douleurs. Elle peut marcher quelques mètres avec l'aide d'une personne. Une semaine après, quand elle revient au cabinet de consultation pour recevoir la deuxième session, elle explique qu'elle a été beaucoup mieux pendant 5 jours, puis qu'elle a ressenti une légère douleur, qui ne l'a pas obligé à prendre les calmants habituels. La fréquence et l'intensité des crampes ont énormément diminué. La patiente est venue chaque semaine pendant les trois premiers mois. Maintenant, elle vient toutes les trois semaines. Elle ne marche qu'à l'aide d'une canne, et ne souffre ni de crampes ni de douleurs musculaires, et n'a pas eu de nouvelle crise. Actuellement, elle n'a pas besoin de fauteuil roulant.
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CAS CLINIQUE N°4. - A.C.G., homme âgé de 68 ans.
Docteur C. Aldea Bueno
RAISON DE SA VISITE: Douleurs aux deux genoux, poignets et épaules. Diagnostic de Polyarthrite.
HISTOIRE DE LA SYMPTÔMOPATHOLOGIE: Il y a quatre ans, le patient est opéré de néoplasie du pancréas. Après près de 4 mois d'hospitalisation, dont 2 mois aux soins intensifs, il se rétablit de façon satisfaisante. Il n'y avait ni métastase ni rechute de néoplasie, mais dès sa sortie de l'hôpital le patient a des douleurs aux deux genoux, le genou gauche étant plus douloureux, qui empirent jusqu'à atteindre les mains, les poignets et les épaules. Il est donc accepté au service de Rhumatologie pour une polyarthrite séronégative, avec HLA-B27 positif. Il débute un traitement d'une dose le matin d'anti-inflammatoires non-stéroïdes et de cortisone, mais la douleur aux deux genoux persiste. Alors des infiltrations intraarticulaires de cortisone sont appliquées. Les douleurs persistent, le patient décide donc de venir au cabinet médical.
TRAITEMENT: Nous débutons la thérapie avec la BCQH, en lui appliquant consécutivement les trois protocoles, en effectuant la désinterférenciation de toutes ses cicatrices abdominales -I Protocol-, et cercles sur le plexus lombaire et le point universel, et cercles sur les deux genoux -II Protocol- et en lui stimulant les Chakras. Après la première session, le patient peut marcher sans l'aide de sa canne et la douleur a totalement disparu. À la deuxième session, avant que celle-ci ne commence, le patient commente qu'il a remarqué une amélioration de son état générale et qu'il est sans douleurs, sans tuméfaction des poignets, sans gênes aux épaules. Quant aux genoux, il est asymptomatique pendant 5 jours, souffrant de douleur, beaucoup moins intense et de façon non permanente, seulement en marchant. Avec les sessions suivantes, il s'améliore progressivement. Actuellement, il marche sans canne, et les douleurs ne reviennent que s'il marche ou reste debout, pendant très longtemps. Il mène une vie normale. Il ne vient plus qu'à une session de BCQH par mois.
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CAS CLINIQUE N° 5. - D.M.Z., femme âgée de 56 ans.
Docteur C. Aldea Bueno
RAISON DE SA VISITE: Néoplasie du sein gauche, inopérable selon les critères oncotiques de l'époque.
HISTOIRE DE LA SYMPTÔMOPATHOLOGIE: Il y a 9 mois, la patiente remarque une tumeur douloureuse au sein gauche. Elle panique et ne dit rien à aucun membre de sa famille. Quand elle se présente au service d'oncologie, la tumeur est presque aussi grosse que le sein. Le comité de tumeurs le classifie comme une néoplasie de sein inopérable. Les séances de chimiothérapie et de radiothérapie commencent, ces dernières périodiquement. Malgré cela, et après trois mois de traitement, la taille de la tumeur ne diminue pas, seuls s'objectivisent des dérangements trophiques de la peau de tout le sein et le mamelon, avec de grandes douleurs sur la zone irradiée. La patiente est très déprimée et fatiguée, à cause des séances de chimiothérapie.
TRAITEMENT: Nous débutons la thérapie avec la BCQH, en lui appliquant les trois protocoles. Le modèle du Deuxième Protocole est également appliqué au sein affecté, pendant 20 minutes. Nous lui rajoutons la stimulation des Chakras.
Occasionnellement, avec un des éléments que composent l'équipement thérapeutique de la BCQH, nous lui stimulons bilatéralement des points déterminés d'acupuncture.
La première session terminée, la patiente explique qu'elle se trouve beaucoup plus gaie, ne ressent plus de douleurs, ni de fatigue, et a très faim. La semaine suivante, au début de la session des trois protocoles, elle nous fait savoir qu'elle n'a plus de douleur, qu'elle n'a que quelques gênes lancinantes occasionnelles, sûrement dues à la chimiothérapie, et que la tumeur a diminuée de presque la moitié, chose également observée par le radiothérapeute qui, par conséquent, a du réajuster les mesures de radiation. La patiente est d'excellente humeur, ne ressent pas de fatigue, et a légèrement pris du poids dû à l'augmentation de son appétit. Après les sessions suivantes, la patiente continue à avoir un bon état mental et asymptomatique. Lentement, la tumeur diminue et nous ne détectons pas de métastases. Le Comité de Tumeurs de l'Hôpital décide, donc, de faire une mastectomie radicale. Actuellement, elle vient une fois par mois. Elle ne montre aucune rechute, ni de métastase. La cicatrice de l'opération est parfaite, malgré la radiothérapie reçue.
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CURRICULUM DU DOCTEUR CARLOS ALDEA BUENO:
Le Dr. Carlos Aldea Bueno est Licencié en Médecine et Chirurgie depuis 1981 par la Faculté de Médecine de l'Hôpital Clinique de Barcelone, qui appartient à l'Université de Barcelone.
- Diplômé en Gériatrie et Rhumatologie.
- Professeur à l'Université de Barcelone, à la Faculté de médecine jusqu'à 1992, donnant des cours aux étudiants supérieurs sur l'Algiologie et les Traitements de Douleur.
- Directeur Médecin du Centre d'Attention Primaire à la 'Villa Olímpica' de Barcelone.
- Professeur Associé de l'Université Autonome de Barcelone, à la
Faculté de Médecine de l'Hôpital de Nuestra Señora del
Mar, où il donne des cours à la dernière année de licence dans la spécialité de Médecine de la Famille et de la Communauté.
- Master en Médecine Naturelle.
- Diplômé Supérieur en Acupuncture par le C.E.D.A.T.C. (Centre Espagnol de Diffusion de l'Acupuncture Traditionnelle Chinoise, professeur Ngyuyen Van Nghi).
- Diplômé et professeur en Homéopathie par le C.E.D.H. (Centre d'Etudes et de Diffusion de l'Homéopathie de Paris).
- Diplômé en Homotoxicologie et Thérapie Homéotoxique par 'The International Association of Homotoxicology and Homotoxic Therapy', de Baden-Baden (Allemagne).
- Il reçoit les malades à sa clinique privée qui est essentiellement consacrée au traitement de la douleur dans les cas de pathologies chroniques et dégénératives.
- En juillet 1997, il effectue un cours (séminaire d'introduction, étude et pratiques) de Bio-Cybernétique Quantique Hologrammique sous la direction du professeur Pere Ribalta-Puig. Depuis, il utilise cette thérapie dans son activité professionnelle.
E-mail: caldea1@airtel.net
Sa large expérience clinique, et son niveau universitaire, avalisent son opinion su l'efficacité thérapeutique de la Bio-Cybernétique Quantique Hologrammique, qu'il considère comme: 'Une méthode thérapeutique extraordinairement efficace et sans effets secondaires'.
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CAS CLINIQUE D'UN 'Liquen Ruber Monoliformis'
A. Ch., femme célibataire âgée de 39 ans. Elle vient au cabinet médical dû à un Liquen Ruber Moniliformis qu'elle a depuis six ans. Il s'est propagé sur le visage et les extrémités (devant et côtés des bras et jambes; le dos des mains et pieds), Il est diagnostiqué et traité en attention primaire par des spécialistes en dermatologie. La patiente subit diverses biopsies, cultures et analytiques pendant ce temps, dans divers centres et hôpitaux. Des crèmes hydratantes, des corticostéroïdes oraux et en crèmes (Tigason, Roacutan), du psoralen (Psoralen) avec des rayons UVA, de la cyclosporine (Sandinum), et diverses formules magistrales, et des applications de Brai, lui sont prescrits sans obtenir de résultats et avec des sérieux effets secondaires.
Selon le Journal of Cutaneous Pathology, dans un article du mois de février de 1984, où est écrit le rapport 'Lichen Ruber Moniliformis and Lichen Ruber Verrucosus and Reticularis of Kaposi', des docteurs nord-américains A. H. Mehregan, L. E. Heath et H. Pinkus (Wayne State School of Medicine y Pinkus Dermopathology Laboratory -Detroit, Michigan-), présenté au Congrès Annuel de la Société Américaine de Dermatologie (New Orléans, 3-12-82), il n'y a qu'un total de 25 cas mondiaux, depuis, qu'elle fut différenciée du Lichen Plat et du Lichen Simple Chronique, pour la première fois en 1886 parle Dr Kaposi à Budapest, ce qui nous donne une idée de la singularité de cette maladie chronique et non maligne.
La distribution, d'étiologie inconnue, des éruptions et des changements histologiques caractérisés par la lichenification et prolifération du tissu cicatriciel dense à l'épiderme, nous fait penser d'un point de vue de la médecine allopathique à un processus auto-induit (Dermatite Artefact) qui montre une réactivité anormale de la peau aux traumatismes. Il en résulte la formation des bandes linéales qui montrent une distribution plus ou moins symétrique. Selon l'investigation histiopathologique, il existe des zones d'dème sub-épidermal, avec une séparation des fibres de collagène, un léger accroissement du nombre de fibroblastes, quelques zones de séparation dermo-épidermal au niveau de la membrane basale, fibrose dermique, et champ d'excoriation. Dans ce cas-ci, il s'agit principalement de lésions linéales en forme de corde de 1-3 MM de grosseur, qui forment des anastomoses réticulaires de couleur pourpre, grisâtre à la partie supérieure, sans prurit, et avec des zones d'excoriation sur sa superficie. La patiente avait tendance à se faire des petites ulcérations sur tout le dos de la main, à cause d'un grattement compulsif des zones altérées, ce qui lui produisait ensuite de la douleur.
L'on ne connaît pas d'autre cas dans la famille de la patiente. Elle n'a pas de rein gauche de façon congénitale, et à l'âge de 8 ans, on lui a diagnostiqué une cavité au poumon. A l'âge de 18 ans, elle est opérée d'une hernie inguinale gauche; la cicatrice affecte le méridien du foie. Deux fois par an, pendant les dernières trois années, elle souffre de l'apparition d'abcès mammaires, qui sont traités avec des antibiotiques, et dans certains cas opérés. Jusqu'au moment de l'apparition de l'éruption, elle avait tendance à prendre souvent froid, était frileuse, et avait toujours les mains et les pieds froids. L'éruption apparut au printemps, et fut traitée, au début, sans résultat, comme une allergie printanière. L'année précédente avait été spécialement difficile pour la patiente, étant donné qu'elle vivait une situation familiale très tendue, dont la perte de son père, qui l'affecta psychologiquement de façon significative. En hiver, elle eut une grippe plus grave que d'habitude, avec des fièvres qui atteignirent les presque 41°. Elle jusqu'au délire et aux tremblements.
Peu après, pendant le mois de février, elle a une paralysie faciale périphérique du côté gauche, et après deux mois de traitement allopathique, il n'y a pas de séquelles apparentes. Après l'apparition de l'éruption au mois de mai, la sensibilité au froid, l'hypothermie des mains et des pieds diminuent, elle a des épisodes de tremblements et d'anxiété. Parfois elle a une forte sensation de brûlures aux zones altérées, surtout aux jambes. Quand elle arrive au cabinet médical, elle présente un tempérament instable, une introversion, de l'irritabilité, elle souffre d'insomnie, de palpitations, d'expectoration blanche, de mucosité nasale, de météorisme, de dysménorrhée, de ménorragie, de nervosité banale et de douleur aux seins pendant la phase de prémenstruation, de suffocation accompagnée de sueur spontanée et de sensation d'angoisse, des acouphènes sporadiques, elle a un pouls fin et peu profond, spécialement à la position du rein, et une langue peu hydratée, un peu rouge et avec peu de saburre de couleur blanche.
Du point de vue de la Médecine Traditionnelle Chinoise, avec une tendance à l'insuffisance de Qi, avec faiblesse évidente du Wei Qi, du rein (absence du rein Yin) et du Qi de poumon, la patiente a souffert un blocage de Qi de foie dû à des facteurs émotionnels, et postérieurement une attaque aiguë de vent-froid qui se transforme en chaleur à l'intérieur. La maladie fébrile arrive jusqu'au système Xue pour consommer le Yin, en générant de la chaleur dans le sang, et finalement vent interne par manque d'hydratation et d'apport nutritif aux muscles et tendons. Dans ce contexte, une autre attaque de vent-froid, peu après, lui provoque la paralysie faciale périphérique. La consommation de Yin par la chaleur a rompu l'équilibre délicat entre 'l'eau et le feu', en générant de la chaleur due à l'insuffisance de Yin et au dérangement du Shen de coeur. En même temps 'l'eau ne nourrit pas le bois', et comme le Qi de foie continue à être bloqué à cause des facteurs émotionnels, des dérangements prémenstruels et menstruels, des épisodes d'ascension de Yang hépatique, et du vent interne se présentent. Il n'est pas étonnant donc qu'une éruption apparaisse au Printemps, qui est le reflet du vent et de la chaleur accumulés dans le système interne et le sang, de l'insuffisance de Yin de foie, de coeur, et de rein, et de la faiblesse du poumon et de la peau. Logiquement, à cause de l'éruption, sa situation émotionnelle (préoccupation, tristesse, et rage réprimée) s'aggrave, et donc aussi, le blocage de Qi de foie et le dérangement du Shen.
Depuis la première session de BCQH en janvier 1999 la patiente se trouve significativement plus relaxée, et elle peut même dormir cette nuit-là. Pendant les quatre premiers mois, les sessions sont hebdomadaires, puis le mois après, elles passent à être tous les quinze jours, et au mois de juin et juillet, mensuelles. Après un repos au mois d'août, les sessions reprennent tous les quinze jours au début du mois de septembre. Pour le moment, l'éruption a diminué de 75%. La patiente montre un changement important dans sa façon de vivre, elle semble être plus équilibrée et détendue. Les dérangements menstruels se sont arrangés, avec quelques prémenstruelles, bien que beaucoup plus légères. Il n'y a plus eu d'abcès de mammaires. La patiente n'a plus pris froid, ni eu de rhinite, ou d'expectoration. L'application de bioinformation analogique, pendant deux sessions, est définitive; un des éléments de l'équipement thérapeutique de la BCQH est appliqué directement sur certains points d'acupuncture, qui selon le Dr Maurice Mussat régulent le niveau énergétique Tai Yin (7P, 4IG-36E, ID3-V62-DM4, 17RM). Les épisodes de palpitations, tremblements, acouphènes, accès de chaleur, et angoisse diminuent énormément. C'est pour cela et devant les résultats déjà obtenus que nous pouvons espérer, dans un cas, considéré, très difficile, encore plus de résultats.
Barcelone, le 11 septembre 1999.
Thérapeutes:
Silvia Fontecha, diplômes:
BCQH à l'Institut d'Etudes Biocybernétiques.
Réflexologie Podale à l'École de Formation et Thérapies Manuelles Corée.
Kinésithérapie et Médecine Florale à l'Association Axis - Vipassana.
Thérapie Chromo-Florale au Centre Professionnel de Médecine Esthétique.
Spagirie Thérapeutique au Centre Espagnol de Spagirie - Sothys Sp.
Médecine Spagirique au Phyto-Sp.
Dynamique Mentale et Culturelle Psychique à l'Association des Parapsychologues de Catalogne.
Vicenç Bagué, diplômes:
Médecine Traditionnelle Chinoise et Shiatsu à l'Institut Supérieur de Médecine Traditionnelle Chinoise et Naturopathie.
Acupuncture et Shiatsu au FENACO
BCQH à l'Institut des Etudes Biocybernétiques.
Auriculomédecine au Proelsa.
Conditions de Travail et Santé à l'Institut National de Sécurité et Hygiène au Travail.
E-mail: MTCVS@telefonica.net
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CAS CLINIQUE : Mª J.G.R., femme âgée de 41 ans.
RAISON DE SA VISITE : améliorer son état émotionnel après l'avoir informée de la rapide nécessité de traiter son hépatite C:avant d'avoir appris la nouvelle elle se sentait parfaitement bien, après l'avoir apprise sa peur de la mort est la plus forte.
DOSSIER CLINIQUE : elle se rend à la consultation en mars 2000, quand ses transaminases apparaissent altérées et son foie enflammé. Jusqu'à présent, c'est une personne qui a été et est toujours très active, avec une vie totalement normale bien qu'on lui ait diagnostiqué l'HÉPATITE C il y a neuf ans. Son père est mort de l'hépatite C et un des frères du père a également le virus.
TRAITEMENT : nous avons commencé avec 4 sessions à raison de 1 session par semaine, puis nous les avons espacées à 2 semaines jusqu'à fin septembre.
Date analyses |
Charge virale VHC (copies/ml) |
Charge virale VHC (Ul/ml)
|
01.2000 |
366.535
|
|
03.2000 |
Transaminases altérées.... |
Début du traitement BIOcqh.
|
30.05.2000 |
309.443 |
456.934
|
21.09.2000 |
245.977 |
363.218 repos tto. BIOcqh.
|
10.2000 |
Transaminases normales... |
Début du traitement chimique.
|
28.12.2000 |
|
7.680
|
À souligner :